Aider un jeune qui en a besoin, c'est plus qu'une grande idée
Il existe des associations d'aide au détenus, mais qui sont toutes interdites aux détenus
J'ai remarqué que ma seul présence suffisait à maintenir le calme
Je me suis rangé des voitures pour devenir éducateur
Ne pas récidiver, c'est un combat de tous les jours
Malheureusement, la loi, et par obligation les institutions, n'acceptent pas que des détenues s’associent pour aider d’autres détenues. À leurs yeux, cette démarche est de fait considérée comme une association de malfaiteurs.
- Là où les juristes , les psychologues, les sociologues, les avocats, bref toute une foule d’experts ont échoué, c’est un homme de terrain qui sans l’ombre d’un diplôme a su proposer une solution efficace contre la récidive.
Ce cas n’est malheureusement pas isolé. Bon nombre de problématique ne sont jamais abordées de cette manière parce qu’il n’est pas envisageable pour la trop grande majorité des « sur-qualifiés », et ce malgré bons nombres de contres exemples, qu’un simple expérimentateur puisse résoudre ce qu’ils ont eux même déclarés comme insoluble .
- Les entreprises peuvent et doivent trouver leur rôle à jouer dans la résolution des problématiques sociales. Gérard Bothier, patron de la marque Otago, incarne cette conscience. Mon documentaire se doit de réveiller ces forces qui sommeillent et pousser les élus à soutenir les entreprises qui s’impliquent.
Cette preuve de réussite doit faire école, et notre documentaire illustrera les déclinaisons possibles à partir de la réussite de Gilles et de la générosité de Gérard.
Concienta est enfin un véritable espoir pour toutes les associations qui luttent de toute leur force avec les moyens disponibles et surtout légaux.